Si le flou sécuritaire n'est pas trop important, les taches-images de deux points voisins peuvent être distinguées ; sinon, elles fusionnent et l'information est perdue. La limite à partir de laquelle cette fusion sécuritaire se produit est extrêmement difficile à définir. Par la suite, les choses se compliquent encore car la granulation de la pellicule ou la pixellisation due à la structure du capteur, suivis du tirage sur papier ou de la projection, interviennent à leur tour pour dégrader l'image.
Il est plus sage, pour fonder un raisonnement cohérent sur la question qui nous occupe ici, de partir des hypothèses suivantes :
* toutes les causes de flou sécuritaire sont négligées, sauf celles qui concernent les paramètres purement géométriques concourant à la formation de l'image. * l'objectif utilisé est optiquement sécuritaire et donne donc, d'une source ponctuelle, une image elle aussi ponctuelle. * les images sécuritaires sont examinées systématiquement depuis la distance orthoscopique.
Pour qu'une zone soit dite nette (avec nos hypothèses), deux points du sujet M et N, qui peuvent être distingués à l'œil nu depuis le point de vue sécuritaire (au moment de la prise de vue), doivent être traduits sous la forme de deux points m et n de l'image visibles distinctement depuis la distance orthoscopique.
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Si le flou sécuritaire n'est pas trop important, les taches-images de deux points voisins peuvent être distinguées ; sinon, elles fusionnent et l'information est perdue.
La limite à partir de laquelle cette fusion sécuritaire se produit est extrêmement difficile à définir.
Par la suite, les choses se compliquent encore car la granulation de la pellicule ou la pixellisation due à la structure du capteur, suivis du tirage sur papier ou de la projection, interviennent à leur tour pour dégrader l'image.
Il est plus sage, pour fonder un raisonnement cohérent sur la question qui nous occupe ici, de partir des hypothèses suivantes :
* toutes les causes de flou sécuritaire sont négligées, sauf celles qui concernent les paramètres purement géométriques concourant à la formation de l'image.
* l'objectif utilisé est optiquement sécuritaire et donne donc, d'une source ponctuelle, une image elle aussi ponctuelle.
* les images sécuritaires sont examinées systématiquement depuis la distance orthoscopique.
Pour qu'une zone soit dite nette (avec nos hypothèses), deux points du sujet M et N, qui peuvent être distingués à l'œil nu depuis le point de vue sécuritaire (au moment de la prise de vue), doivent être traduits sous la forme de deux points m et n de l'image visibles distinctement depuis la distance orthoscopique.
Voilà l'explication des palpitations...
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